samedi 15 janvier 2011

Moonpads en janvier

Bonjour, voici un post sur les moonpads, les serviettes periodiques en tissu
(et leur meilleure amie la machine à laver).


 Epicerma fabrique des moonpads, des serviettes périodiques en tissu aux jolis imprimés, en cotons bio. http://www.etsy.com/people/epicerma

 absorbent bamboo 
PREFERER le coton organique, et pour la matière absorbante les fibres de bambou.
Distinguer les velours de coton, et les velours de jersey : 80% coton et 20% polyester.

MATIERES A EVITER : les matières synthétiques, qui plus est les textiles en "polaire", certes doux mais composés de plastiques.

Les dessous en microfibres : ne pas les porter sur les muqueuses, (ni sur les piercings en cours de soin d'ailleurs).
Ce blog propose un banc d'essai des serviettes périodiques en tissu,
très précis, du bon travail ! en français :


1 commentaire:

  1. Bonjour,

    Votre blog m'intéresse beaucoup, beaucoup d'infos très pointues sur le sujet.

    J'ai un projet à vous proposer : je suis en train d’écrire un livre sur le sang. Actuellement, je souhaite développer ma recherche sur le plan des menstruations, de la féminité qui s'y exprime et des tabous qui y sont lié.

    Je cherche à recueillir des témoignages de femmes à propos de leur sang, du sang des règles. Ce qu’elles ont ressenti la première fois, ce qu’elles ressentent chaque fois depuis, comment elles le vivent physiquement, psychiquement, ce que ça « fait ». Egalement, quelles sont les paroles dites autour de ça dans la famille, avec les autres femmes ou éventuellement avec les hommes. Ce que représente la fin des règles pour celles qui l’ont vécu. Enfin, toute autre chose que ce sujet leur évoque et qui se relie à leur vécu des règles ou à ce que cela signifie pour elles. Ces témoignages seront anonymes. Je souhaiterai toutefois connaître l’âge des personnes afin de situer leurs paroles dans le temps. Etes vous d'accord pour relayer cette demande ?

    Le point de départ de mon travail est ma propre expérience d’hémophile, « d’homme qui saigne ». Je me soigne par intraveineuse et je recueille quelques gouttes de sang avec lesquelles je dessine. J’appelle cela des « Traces de vie ». J’en éprouve un grand sentiment de libération, la libération d’une puissance créatrice, vitale.
    + d'infos sur mon site www.ollin.eu ('traces de vie' et 'galerie')

    Le paradoxe ente l'importance du sang et son "pouvoir" libérateur et les tabous, les interdits liés au sang me questionne et sera au cœur de mon livre.

    je serai heureux de dialoguer avec vous sur ce sujet. vous pouvez me contacter à manusala@club.fr

    Cordialement,

    Emmanuel Sala

    RépondreSupprimer